Merci de vos gentilles visites sur mon blog. Et pour ce lundi voici des blagues qui font suite aux quelques blagues de mon article du 10 janvier :
– Moi, je ne suis pas du tout superstitieuse, confie une jeune fille à une autre.
– Moi, si.
– Tu as tort, il paraît que ça porte malheur.
Une jeune femme désabusée se plaint à une amie :
– Il faut beaucoup de temps à une femme pour trouver l'homme de sa vie.
– Oui, mais elle peut toujours se marier en attendant.
– Ce pantalon vous va comme un gant, dit la vendeuse.
– Vous n'en auriez pas plutôt un qui m'irait comme un pantalon.
– Comment, dit une mère à sa fille, Daniel a osé t'embrasser contre ta volonté ?
– Non, maman. Il le croit seulement !
Une dame rencontre une rivale :
– Je sais que vous m'avez volé l'amour de Jacques, mais je vous défigurerai, vous m'entendez... Et puis non, tiens, je vous laisserai comme vous êtes.
Un boucher est en train de se taper une cliente, une habituée, dans l'arrière-boutique. Il s'écrie :
– Madame, il m'en reste un bout, je vous le mets quand même ?
La petite amie de ce psychanalyste l'adore et ne perd pas une occasion de le faire savoir.
– Hier, lui dit-elle, j'ai rêvé que vous étiez fou de moi. Qu'est-ce que cela veut dire ?
– Que vous rêviez.
Une jeune actrice avait épousé un célèbre metteur en scène. Un jour, elle tomba amoureuse d'un de ses partenaires et accepta de passer la nuit avec lui.
– Tu es heureuse ? demanda-t-il.
– Oui, mais je ne savais pas que cela se faisait aussi à deux.
Un homme prend son petit déjeuner, puis se plonge dans son journal.
– Tu ne vas pas au bureau ce matin ? demande sa femme.
– Zut ! je croyais que j'y étais.
– Il s'est conduit avec moi d'une façon épouvantable, raconte une jeune fille à une autre. Qu'est-ce que je dois faire pour me venger ?
– Epouse-le.
Un acteur va voir un réalisateur et lui dit :
– Voulez-vous m'engager pour votre prochain film ?
– Impossible. Je ne veux aucun acteur professionnel.
– Vous savez, je joue si mal !
– Docteur, dit un monsieur à un psychiatre, ma femme a un complexe d'infériorité. Comment faire pour qu'elle le conserve ?
– Je reconnais que l'argent n'est pas tout, dit une femme à une autre, mais il calme tellement les nerfs !
– Tu sais, ta secrétaire raconte un tas de mensonges sur toi.
– Aucune importance, mon vieux, tant qu'elle ne raconte pas la vérité.